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Présentation
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    "Jean Paul Mortagne met une oreille sur votre cœur, pour vous entendre.
Il a longtemps entendu les humiliés, les violents, les violentés, les rudes, les sans passé qui ne se voient pas d'avenir.
Il les a accompagnés du côté du Ministère de la Justice.
Et puis, il a rencontré le théâtre, les poètes, les conteurs, leurs paroles, leurs humiliations,
leurs violences, leurs blessures, tout ce qui les pousse à créer.
A créer, voilà le mot.
    Il est né pour créer des liens, la seule culture qui vaille.
Maintenant, il pose ses oreilles sur le sol pour entendre venir les bisons, les chevaux et les indiens.
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    Il dispose son cœur au plus près des racines, non par nostalgie,
encore moins pour céder à la tentation mortifère des folklores aux sombres accents,
mais pour attacher la vie à la vie, nouer des relations poétiques avec le tout du monde.
    Tresseur d'histoires, pour stimuler chez l'auditeur, le muscle de l'imaginaire et inspirer le quotidien réel,
il est à la recherche non plus du Ministère de la Justice mais de la justesse qui, comme chacun sait, n'aura jamais de ministère.
Tresseur écrivain, il raconte comme on faisait des paniers pour les fruits.
    Artisan, artiste, il faut le lire et l'écouter avec notre enfance, ce drôle d'ange."
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Raymond Godefroy, metteur en scène (Mars 2007) | |
Jean-Paul Mortagne ou le volcan tranquille.
    "Sa voix posée rassure, enrobe, vient vous chercher dans vos plus profonds retranchements et vous emporte loin, loin...
Parfois son oeil s'illumine, sa petite moustache frise; on passe de l'émotion au rire, du merveilleux au quotidien, de la tendresse à la férocité... On se laisse porter, il sait où il nous emmène et on le suit avec bonheur."
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